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les sables d'Olonne a ce jour ( vidéo ) https://www.youtube.com/watch?v=EXAB_vGZtek
XIè - XVIIè siècles
L'histoire des Sables d'Olonne et de La Chaume est, depuis le Moyen Âge, liée à l'océan. Au XIe siècle, une église dédiée à Saint-Nicolas, patron des pêcheurs, est édifiée à la pointe de La Chaume.
1218 : la véritable impulsion est donnée par Savary de Mauléon, Prince de Talmont, qui décide de fonder une villa nova près d'Olonne et de La Chaume. Le port des Sables remplace le port de Talmont qui s'envase inexorablement. Le bourg des Sables se développe alors sur le versant nord de la dune. Le Port des Sables s'enrichit très rapidement avec une solide bourgeoisie de négociants et d'armateurs.
1472 : Louis XI décide de faire des Sables d'Olonne le port principal du pays.
1498 : l'importance du port des Sables est indéniable. 80 à 100 navires y mouillent chaque année.
XVIe siècle : époque de la construction d'hôtels particuliers d'armateurs et de négociants. L'économie est surtout basée sur la pêche à la baleine, puis à la morue qui assure jusqu'au XVIIIe siècle la richesse de la ville.
1602 : les Sables d'Olonne devient l'un des huit sièges d'élections du Bas-Poitou.
1622 : la cure des Sables devient indépendante d'Olonne grâce à Richelieu.
1623 : les travaux de la chapelle Sainte-Anne débutent à la Chaume.
1639 : la construction de l'Abbaye Sainte-Croix s'achève.
1646 : pose de la première pierre de l'Eglise Notre-Dame de Bon Port.
XVIIè - XIXè siècles
Entre 1660 et 1725, les Sables d'Olonne devient le 1er port morutier de France. Pourtant, sous le règne de Louis XIV, les conflits incessants empêchent le commerce et la pêche qui assuraient la prospérité de la ville.
La situation de la ville commence à se dégrader.
1696 : la ville est bombardée par une flotte anglo-batave, mais les dégâts seront heureusement minimes grâce à l'action d'un marin sablais, Daniel Fricaud.
XVIIIe siècle : un lent déclin s'amorce, essentiellement par le fait des guerres, du désengagement des capitaux nantais et de l'ensablement progressif du port.
1750 : d'importants travaux sont entrepris pour permettre le libre accès du port et protéger la ville des inondations :
1751-1756 : construction du « Remblai »,
1764-1765 : construction de la jetée Saint Nicolas pour protéger l'entrée du chenal,
1768-1780 : construction de la grande jetée
1782-1787 : construction d'un quai en bordure de La Chaume.
1749 : élection du premier maire des Sables-d'Olonne, Aimé-François Dupleix, et de quatre échevins.
7 août 1753 : après quelques siècles de rivalité, les Sables-d'Olonne et la Chaume sont réunis.
1765 : la ville est dotée d'armoiries après avoir obtenu le droit de faire du commerce avec les îles d'Amérique.
juillet 1789 : la ville arbore le nouveau drapeau tricolore dès la fin du mois. Elle reste fidèle à la République après avoir repoussé les attaques des troupes vendéennes les 24 et 29 mars 1793.
Cependant, l'état de la ville ne cesse d'empirer, isolée de l'intérieur (aux mains des Vendéens) et de l'extérieur (avec la présence des Anglais sur mer). Sous l'Empire, la municipalité des Sables-d'Olonne doit faire face au blocus continental instauré par Napoléon, ainsi qu'à la menace des vaisseaux de guerre anglais
XIXè siècle
Au lendemain de la Révolution et de l'Empire, la ville des Sables d'Olonne est dans une situation économique et démographique catastrophique. Le renouveau viendra de l'essor du tourisme et de la pêche.
1816 : premières réglementations des bains de mer.
1825 : premiers établissements de bains et les « Bathing Machines ».
1854 : parution du « Guide historique et pittoresque du baigneur aux Sables d'Olonne », qui permet de faire connaître la Ville à Paris et dans les grandes villes de l'Ouest.
1854 : début des travaux de rénovation de l'ancien château de La Chaume par les Pontset-Chaussées. Désormais, la tour sera connue sous la dénomination controversée de «Tour d'Arundel ».
1845 à 1863 : d'importants travaux modernisent le port des Sables-d'Olonne. Début de la grande épopée de la pêche à la sardine et de la pêche au thon, qui assure l'essor des conserveries (Amieux, Maingourd...)
Fin XIXè : construction de la grande poissonnerie Parallèlement, les chantiers de construction navale fleurissent sur les quais de la Cabaude, fabriquant les fameux dundees, gazelles et autres pinasses sardinières. Un peintre chaumois, Paul-Émile Pajot, va immortaliser cette vie maritime sur ses toiles. Grâce à la petite pêche côtière artisanale et la pêche hauturière, les Sables-d'Olonne vont occuper, jusque dans les années 1990, la 5ème place des ports de pêche français.
XIXè - XXè siècles
L'arrivée du chemin de fer aux Sables d'Olonne en 1866 va dynamiser le tourisme, avec la construction de la gare et la mise en place des « Trains de plaisir », reliant Paris à « La plus belle plage d'Europe ».
1876 : inauguration du Casino de la Plage
1886 : inauguration du Casino des Pins
1879 : l'accroissement de la fréquentation estivale a pour conséquence l'extension de la ville vers l'Est. Les nouveaux quartiers de la Gare et de la Rudelière s'urbanisent très rapidement. Les touristes font alors construire de nombreuses et somptueuses villas, que l'on peut encore voir de nos jours. Peu à peu, les nombreux hôtels et pensions de familles permettent d'accueillir l'afflux croissant des étrangers.
1936 : les campings se développent à leur tour
années 1950 : l'urbanisme va être profondément modifié par la construction de grands immeubles collectifs, ainsi que par l'élargissement du Remblai et la construction de la piscine en front de mer. Le Casino de la Plage est également reconstruit
Fin des années 1970 : construction du port de plaisance, Port Olona, et d'une rocade entre les Sables et La Chaume.
15 juin 1975 : signature de la charte du Jumelage entre la Ville et Schwabach, ville allemande située en Bavière.
1989, le Vendée Globe
En 1989, le Vendée Globe Challenge prend le départ aux Sables d'Olonne. La ville renoue avec son passé maritime, auquel s'ajoutent de nombreuses compétitions nationales et internationales de sports nautiques.
1989 : installation d'un centre de thalassothérapie au bord du Lac de Tanchet dote la ville d'une nouvelle infrastructure touristique. La ville devient une des premières « Stations nautiques » en France.
1990 : début de l'embellissement du centre-ville
1998 : inauguration du Centre de Congrès Les Atlantes, qui achève l'oeuvre de modernisation, plaçant les Sables-d'Olonne en un pôle touristique incontournable.
Aujourd'hui : Port Olona accueille une cinquantaine de manifestations nautiques chaque année dont le très médiatique Vendée Globe.
Magique les sables d,olonne
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Brasserie, Service en continu 8HOO/18HOO
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VISITE DU PORT OLONA VIRTUEL
http://www.portolona.fr/Portdeplaisance/visite_virtuelle_360.html

Bar des halles 6 Huitres 1 Verre de muscadet / lie 7€
" exclusif aux sables d 'olonne " l'apéro duhomard "
Diaporama de 20 Minutes>> http://www.youtube.com/watch?v=yaIkuLgsyjQ&feature=youtube_gdata_player
Astuce !!!! ( si un lien de fonctionne pas cliquer dans Ouvrez ce contenu dans une nouvelle fenêtre )
C.G de la Vendée
http://www.vendee.fr/
VOTRE GUIDE DES SABLES D OLONNE http://www.calameo.com/read/0008075243f1ad2609bf0
Histoire des Sables D'Olonne
visite de la ville : http://www.youtube.com/watch?v=xrRuk-QkX8A
La devise de LES SABLES D OLONNE (devise ancienne):
|
ADVOCATA NOSTRA, ORA PRO NOBIS
|
Notre avocate, priez pour nous
|
Les armes de LES SABLES D OLONNE
|
d'azur, à la Vierge d'argent, sans mantel ni couvre-chef, les bras croisés sur la poitrine,
le voile mouvant à senestre ; elle repose sur un nuage aussi d'argent ; elle est accostée
en chef de deux chérubins au-dessus desquels des nuages sont amoncelés ;
elle est accompagnée en pointe d'un vaisseau équipé d'argent voguant sur une mer de sinople
|
Historique de la devise de LES SABLES D OLONNE
|
La devise se rapporte à la Vierge du blason. "Les armes de la ville des Sables-d'Olonne et leur devise remontent
à la deuxième moitié du XVIIIe siècle. "Sous la Révolution, ainsi qu'il ressort d'un en-tête de lettre
qui semble émaner de la ville des Sables, l'on supprima,
dans les armes de la cité, ce qui rappelait l'idée religieuse.
On laissa subsister seulement, dans l'écu, le fond d'azur,
le vaisseau et la mer, en l'encadrant de l'inscription :
LES SABLES DOLONNE (sans apostrophe entre D et O,
peut-être omission du graveur) et en entourant le tout d'armes de guerre,
de projectiles divers et de drapeaux déployés, disposés en panoplie. "Plus tard, on revint aux anciennes armoiries."
(Note de M. Amédée Odin, des Sables d'Olonne.)
|
merçi à l'office de tourisme des sables d'olonne pour ce document http://www.messablesdolonne.fr/2012/02/16/quartiers-maritimes-des-sables-olonne/

" fan des sables d'olonne vidéos films photos livres et plus ...
L'histoire des Sables-d'Olonne est liée au monde de la mer depuis la fondation
petite vidéoport de pêche http://www.youtube.com/watch?v=MsaqsMEx0p0
en 1218 du Havre d'Olonne par Savary Ier de Mauléon,
seigneur de Mauléon,
Sénéchal de Poitou et prince de Talmont sur un cordon
de sables entre
La Chaume et le Marais d'Olonne.
Astuce !!!! ( si un lien de fonctionne pas cliquer dans Ouvrez ce contenu dans une nouvelle fenêtre )
DIAPORAMA SUR LA CHAUME DE 1900 à 2012 http://www.youtube.com/watch?v=yaIkuLgsyjQ&feature=youtube_gdata_player
les sables d'olonne 2012 http://www.youtube.com/watch?v=-C_GUcThsu0&feature=youtube_gdata_player
-
En 1472, Louis XI sépare les Sables d'Olonne
-
de la ville d'Olonne.
-
Au XVIIe siècle, le port des Sables d'Olonne
-
est le premier port
-
morutier de France et compte près de 14 000 habitants
-
En 1753, la Chaume est rattachée aux Sables d'Olonne.
-
Pendant la Révolution française, la ville est acquise
-
à la République. Elle est assiégée à plusieurs reprises
-
pendant la Guerre de Vendée et résiste grâce au ravitaillement
-
par la mer.
-
Le 24 février 1809, bataille des Sables-d'Olonne entre les
-
Français et les Anglais.
-
En 1825, les premiers établissements de bain apparaissent,
-
la ville devient une station balnéaire.
-
Le 29 décembre 1866, le chemin de fer arrive aux Sables
-
en provenance de La Roche-sur-Yon, Bressuire, Saumur,
-
Tours, ligne qui reliera la ville à Paris
-
en train express jusqu'en 1971.
photos ( plus de 1000) films diporamas DVD .CD ROM. etc.... dispo ' " demander Mr René "
fête de le mer en 1957 http://www.youtube.com/watch?v=rIxohFiSOBo&list=UUCigjkSU_yHfjGiwRqWk9sw&index=7&feature=plcp
Dans la nuit du 27 au 28 août 1944,
l'armée allemande d'occupation évacue la ville,
laissant des installations portuaires détruites et des plages minées.
LES SABLES D OLONNE EN 1930 ( clic si dessous )
http://www.youtube.com/watch?v=n0PORQyUAWc

Histoire du remblai des sables d'olonne
CONTRE LA MER
Le Remblai était à l’origine un simple mur érigé pour protéger la ville
de l’océan. Avec l’arrivée des premiers baigneurs au XIXème siècle,
il va devenir le lieu de promenade par excellence des Sables d’Olonne.
Voici quelques dates importantes de l’évolution de la promenade du Remblai :
1541-1543
Suite à une forte tempête ayant ravagé la ville en 1525,
construction sur ordre de François Ier
d’un premier mur de 300m de long et de 4m
d’épaisseur pour protéger la ville des flots.
Il devait s’étendre de l’actuel tribunal à la rue Travot.
Celui-ci ne sera pas entretenu et devra être reconstruit au XVIIIème siècle.
1751-1763
Construction d’un nouveau mur plus résistant. Il fait 550 m de long
et s’étend entre l’actuelle rue de la Pie et l’ancien cimetière de la côte
situé alors en bas de la rue Travot (mur que l’on aperçoit lors des travaux).
L’espace entre le mur et la dune est remblayé par les pierres de délestage
des navires afin de renforcer le mur. C’est à cette période que l’on commence
à désigner cet espace comme étant « le Remblai ».
1860-1885
Construction de la promenade Georges Clemenceau, de l’actuelle
place du Maréchal Foch à la place de Strasbourg, pour prolonger
la promenade déjà existante et protéger le quartier du cours Blossac.
1863-1871
Le Remblai est prolongé jusqu’à la jetée des Sables. L’aménagement
de la promenade du Maréchal Joffre permet non seulement de protéger
le quartier du Passage mais surtout d’aménager le quartier du futur Casino
(où se trouvent les Atlantes et la DDE).
A la même période, la municipalité demande que le Remblai soit macadamisé
par les soins des Ponts et Chaussées. Des trottoirs de 4m de largeur sont créés,
des gardes-corps de fer, des escaliers en bois et des cales sont mis
en place pour accéder à la plage.
1895-1907
Travaux de prolongement du Remblai de l’ancien fort de l’Estacade
(actuelle place de Strasbourg) jusqu’à l’ancien lavoir du Courseau
(les Présidents) destinés à créer l’actuelle promenade Georges Godet.
petite histoire de la TUAR
TUAR ( voiture ) qui gagne la seule course sur la plage des sables d'olonne,le 3/08/1924.
pour info cette voiture a été faite àThouars 79100, avec la participation de ma famille qui est à ce jour aux sables d'olonne ( livre sur l'histoire a disposition au bar des halles ) !!
L’EXTENSION DE LA PROMENADE TOURISTIQUE
Le XXème siècle confirme la mutation de la ville maritime
en station climatique (classée en 1923).
1898
Inauguration en juillet du tramway des Sables d’Olonne
reliant le Grand Casino
au Casino des Pins situé alors avenue Aristide Briand. Il fonctionnait
uniquement pendant la période estivale. Il cessera de fonctionner en 1925.
1908
Procès verbal de remise du Remblai et des ouvrages qui en dépendent
à la ville en date du 29 avril 1908. L’Etat se démet ainsi de sa fonction
d’entretien d’une chaussée à vocation touristique.
1940-1944
Le Remblai est intégré dans le système de défense du
« Mur de l’Atlantique », des « blockhaus » le parsèment.
La plage est minée et truffée de croisillons pour interdire le débarquement.
1949-1951
1950 CONSTRUTION DE LA PENDULE DU REMBLAI

. En 1950, l' architecte Maurice Durand conçoit un réaménagement du front de mer,
de la promenade du Maréchal Joffre à la place du Palais de Justice. Le programme
prévoit la mise en place d' une piscine, de cabines en béton sur la plage,
d' un jardin en contrebas du tribunal, de réverbères et d' une horloge publique
Fête de la mer 1957>>> http://www.youtube.com/watch?v=FFx99z2Wrfo&feature=related
Travaux d’élargissement du Remblai au titre du Plan d’Équipement National
(autorisation du ministère des Travaux Publics en date du 21 janvier 1950
pour l’exécution des travaux d’élargissement sur le domaine public maritime).
Ils se caractérisent par l’élargissement de la chaussée du Remblai
entre la rue de la Pie et la rue Travot en encorbellement sur la plage et par la construction
Octobre 2009 - Avril 2010 Après une première tranche de travaux d’assainissement
réalisée au cours du printemps 2009 entre Les Atlantes et la place Navarin,
une deuxième tranche de travaux a lieu entre la place Navarin et la rue Jean Yole.
Octobre 2009 - Mai 2010 Opérations de démolition de l’encorbellement
et du trottoir coté mer, reconstruction d’une promenade au-dessus de la plage
entre la cale de la piscine et la place Navarin, installation de mobilier urbain
et plantations, des Atlantes à la place du Tribunal.
Hiver 2010-2011 Travaux de génie civil entre les places Navarin et Foch
et réaménagement de la rotonde Foch. Mise en place du mobilier urbain,
des plantations et de l’éclairage de la place du Palais de Justice
jusqu’à la rue Travot. Assainissement de la rue Jean Yole à la rue Guynemer.
Hiver 2011-2012 Travaux de génie civil, mise en place du mobilier urbain,
des plantations et de l’éclairage de la rue Travot à la rue Jean Yole.
Hiver 2012-2013 Travaux de génie civil, mobilier urbain, plantation
et éclairage jusqu’à la rue Guynemer.
Autrefois Les sables d'olonne ( clic si dessous )
http://www.youtube.com/watch?v=cJ7Fcd4BQOs
Ports
Port de pêche
Le Havre d'Olonne
Le port des Sables est un port naturel que l'on appelait autrefois le Havre d'Olonne.
1er port morutier au XVIIème siècle, il a évolué vers la pêche au thon
et à la sardine dans les années 1960, pour finalement devenir
un port très polyvalent et représentatif de tous les types de pêche
(chalut de fond, chalut pélagique, caseyeurs, palangrier et fileyeurs).
Le chalut de fond reste la pratique dominante.
Premier port de débarquement français pour la sole, on trouve
également la langoustine, le bar, le thon, la seiche et le requin taupe.
Ces espèces sont régulièrement achetées sous la criée
sablaise par soixante mareyeurs et détaillants.
Sa flottille est composée de 85 bateaux de pêche et de 255 marins.
Le tonnage débarqué se situe autour de 7500 tonnes, ce qui classe
le port dans les 8 premiers de France en valeur, les espèces ayant
en majorité un prix moyen élevé.
Situé par 46°30 Nord et 1°47 Ouest, le port offre toutes
les conditions de sécurité d'un port moderne.
Port de commerce
Situé sur la façade Atlantique à égale distance de Nantes et de la Pallice,
le port dessert l'une des principales régions céréalières françaises.
Cette position le prédispose à un trafic essentiellement agricole à destination de l'Europe.
Le trafic tend à se diversifier progressivement (ciment blanc, bois).
La Chambre de Commerce et d'Industrie de la Vendée
est concessionnaire du port de commerce des Sables d'Olonne.
Elle gère les infrastructures du port, réalise les investissements
nécessaires, entretient les quais, le bassin à flot et les accès pour
permettre son développement. Il est possible à tout moment
de recevoir des navires d'un tirant d'eau de 5 m à la pleine mer,
celui-ci pouvant atteindre 6,5 m en période de vives eaux
Les équipements
Le port de commerce des Sables d'Olonne a opéré une profonde
mutation en mars 2007 en s'équipant d'un élévateur à bateaux
capable de soulever des bateaux jusqu'à 500 tonnes.
Outil puissant à la pointe de la technologie dans le domaine de la
réparation navale, l'engin est le 2ème plus puissant de l'ouest après Lorient.
Course en solitaire, pêche, construction navale, commerce,
plaisance, il intervient dans tous les domaines et redynamise
toute la filière navale du département. Son étendue est de 28 m de long,
20 m de large et 20 m de haut. Le terre-plein qui le borde à triplé
sa surface portée à plus de 12 000 m2 sur lequel peuvent stationner jusqu'à 15 bateaux.
Tout autour se positionne les ateliers regroupés par pôles
d'activités et le quai a été prolongé de 80 m. Le port est équipé
d'un système de collecte des eaux souillées lors de l'entretien
des bateaux. Elles sont traitées sur place avant d'être rejetées à la mer.
Port de plaisance
Port Olona, le port du Vendée Globe
La plaisance aux Sables d'Olonne est apparue au début du XXème siècle
avec la création en 1906 du Club Nautique : le Sport Nautique Sablais.
Jusqu'en 1979, les bateaux de plaisance stationnaient dans la darse
de pêche. Avec le développement de la plaisance, la construction
d'un port de plaisance était devenue une nécessité.
La Ville des Sables d'Olonne obtient en 1977 un traité de concession
pour la construction d'un port : de 666 places. Une zone artisanale
et une cité immobilière vinrent compléter cet ensemble. En 1988,
après dix ans de fonctionnement, Port Olona double sa capacité
pour atteindre 1100 places ce qui en fait le plus grand port
de plaisance de Vendée et l'un des tous premiers de la côte Atlantique.
Depuis, Port Olona est le port d'accueil des grandes courses nautiques.
Des équipements performants
La cité Port Olona est composée de résidences, de commerces
et d'une zone artisanale. Des ruelles piétonnes, des placettes
ensoleillées, des couleurs chaudes, font le charme de ce quartier.
Port Olona, c'est surtout de nombreux plaisanciers qui ont choisi
d'y amarrer leur bateau pour y vivre leur amour de la mer.
Ce succès et cet engouement s'expliquent par le confort et la
qualité des installations ainsi que par la qualité des services mis en place :
-
1400 places pour bateaux jusqu'à 30 mètres et 4 mètres de tirant d'eau
-
accessibilité par mer en permanence jusqu'à 2 mètres de tirant d'eau
-
accueil et gardiennage 24h/24 et 365 jours par an
-
port remarquablement abrité
-
2 cales de carénage - travelift 28 T
-
station carburant, station météo
-
accès internet et wifi à la capitainerie
-
importante zone technique, nombreux shipchandlers
-
nombreux commerces ouverts à l'année, laverie automatique
-
club-house, club nautique, plongée, station voile...
Nouvelles modalités de stationnement à Port Olona
Suite à la récente rénovation des espaces publics de Port Olona,
le secteur est passé en zone 20 (vitesse maximale des véhicules
en km/h), entre la rue Bernicot et la rue Misaine, avec priorité aux piétons.
De nouveaux dispositifs de livraison et de stationnement ont été
mis en place. Quatre aires de stationnement sont dédiées
aux plaisanciers : Place Jean Nau, sur l'aire de carénage,
place Vendée Globe et parking de la capitainerie. Ils sont basés
sur le principe de la zone bleue, avec 1h de stationnement
maximum en apposant un disque sous son pare-brise.
Des disques sont disponibles à la capitainerie du port. Des chariots facilitent les transferts à bord.
Des places sont également réservées à proximité des pontons
pour des armements plus importants, en début de saison par exemple :
5 entre le ponton Vendée Globe et Alliaura, pour 4h maximum,
et 4 sur le parking de la capitainerie pour 2h au plus.
Après l'armement du bateau, les véhicules et remorques
doivent être remis sur le parking port de plaisance (Nord-Rocade),
voire place du Vendée Globe ou parking de la Sablière.
Un port animé et médiatique
Depuis sa création, Port Olona a été le cadre de nombreuses
manifestations nautiques d'audience nationale :
le Vendée Globe, la Solitaire Afflelou-Le Figaro,
Challenge Université Paris-Dauphine,
Tour de France à la Voile pendant 10 ans, Course Croisière EDHEC, Global Challenge de VDH, ...
Grâce aux efforts développés par la Ville des Sables d'Olonne
et à l'étroite collaboration existante depuis 20 ans avec
les Sports Nautiques Sablais (SNS), Port Olona est devenu
un haut lieu de la voile.
La réussite considérable des éditions du Vendée Globe
a propulsé Port Olona sur la scène internationale,
et en a fait un lieu prisé des médias spécialisés.
Fiche technique
-
Capacité : 1400 places pour bateaux de 4 à 30 mètres
-
Achat d'anneau : possible, revente entre particuliers.
-
Achat d'actions de SA donnant jouissance jusqu'en 2027 à un anneau de port.
La plaisance jette l'ancre dans le port de pêche
Cent dix neuf nouvelles places, au coeur du port, quai Garnier sont ouvertes à la commercialisation.
La plaisance était installée dans le port de pêche jusqu'à la
construction de Port-Olona en 1979. Elle a retrouvé cet été son droit de cité...
en plein centre-ville. Aux pieds des commerces et hôtels restaurants.
La flottille de pêche a libéré la place, en quittant le quai Garnier,
pour être regroupée depuis février aux abords de la criée.
119 anneaux sont installés sur les dix nouveaux pontons.
Les deux tiers des anneaux sont réservés à des bateaux de plus de dix mètres.
Des sanitaires et un point accueil ont trouvé place
dans un modulaire provisoire, d'ici la réalisation
d'une capitainerie flottante en mai 2008.
Le projet se complète avec l'aménagement
de places de stationnement réservées aux
plaisanciers sur le parking de la criée et de stationnements,
limités à 20 minutes, aux deux extrémités du quai
Port à sec
Un port à sec entièrement automatisé en 2013
La Ville des Sables d'Olonne crée un port à sec pour bateaux
à moteur de 480 places à la Cabaude, sur l'ancien emplacement
des chais des marins. La mise en chantier prévue en 2010
est reportée en 2013 après la commercialisation des emplacements.
Port Olona, le port de plaisance des Sables d'Olonne, a été rationnalisé
et optimisé par l'extension et l'ajout de pontons, pour le porter à 1500 places.
Cependant, le manque de places pour des bateaux de plaisance se fait toujours
sentir et de nouvelles places sont donc nécessaires,
autant pour les plaisanciers que pour les professionnels du nautisme.
Aussi, la Municipalité des Sables d'Olonne lance avec la
Direction Départementale de l'Equipement de la Vendée la création d'un port
à sec avec la volonté de répondre à trois préoccupations majeures :
réduire le déficit d'anneaux sur la façade Atlantique, offrir une solution
à la demande économique des professionnels du nautisme et générer des emplois induits.
Le port à sec va être implanté aux Sables d'Olonne, sur le site de la Cabaude,
avec un accès sur la mer dans le bassin de Port Olona. Un espace d'1 ha
a été libéré dans une zone privilégiée, suite au déplacement des chais
des marins sur le site de la Sablière. Le projet prévoit une capacité de
480 bateaux à moteur, d'une taille de 6 à 10 m de long.
Inédit en France et en Europe, développé aux Etats-Unis, le système
d'engins de manutention permet la mise à l'eau et hors d'eau d'un bateau
en 7 minutes. Il facilite la vie de ses usagers en réduisant les risques liés
aux dommages et à l'amarrage, la fréquence des travaux d'entretien.
Le port à sec ne sera pas un simple parking à bateaux, mais un lieu de vie
et un centre d'activité économique intégré dans son environnement.
Il optimise la capacité de stockage sur plusieurs niveaux tout en
préservant l'évolution de la demande (taille et forme des bateaux).
Sa construction fera l'objet d'une démarche Haute Qualité
Environnementale (HQE) en répondant aux exigences
d'un port propre : récupération et traitement des eaux de nettoyage,
de ruissellement, de pollution accidentelle, des eaux grises et noires ;
récupération, tri sélectif et traitement des déchets solides et liquides.
Les propriétaires de bateaux intéressés pourront acheter une garantie
d'usage de place pour 25 ans, ce qui assurera le financement
de cet équipement ultra-moderne.
Vidéo si dessous
http://www.lessablesdolonne.fr/mer-nautisme/les-ports/port-a-sec/
CADEAUX PLUS DE 1000 Photos sur les sables d'olonne ( clic si dessous )
http://www.habitants.fr/cartes_postales_1900_les-sables-dolonne_85194.h
il y a 30 ans, on détruisait le pont de la Chaume

Construit en 1850, par l'administration des Ponts et Chaussées, le pont assurait la liaison
entre la Chaume et Les Sables en passant par la Cabaude.© «collection
de M. et Mme Chavantré-Touzeau».
En novembre 1978, le pont des Écluses disparaissait
pour permettre la création
du port de plaisance. 30 ans plus tard, c'est la route
ouverte aux 30 skippers du Vendée Globe.
« Partout, on rattache les villes au continent avec des ponts. Nous, on nous
les supprime », s'exclamait un Chaumois, voici 30 ans. C'est que le 7 novembre
1978, le pont des Écluses, à la Chaume, était détruit
pour construire le port de plaisance
. « Ça a créé une grosse émotion », se souvient
Constant Friconneau, historien local.
Et de rappeler : « On n'était pas contre le port de plaisance,
mais on était bloqués à la Chaume. »
Construit en 1850, par l'administration des Ponts et Chaussées,
le pont-vanne permettait
d'accumuler l'eau dans le bassin des Chasses.
« Ouvert à mi-marée, il nettoyait l'avant-port ».
Tout en assurant la liaison entre la Chaume
et Les Sables en passant par la Cabaude. En 1928,
la chaussée est élargie à 5,20 m à la demande
d'habitants et de commerçants. Dans une pétition
, ils évoquent « des camions automobiles qui, en raison de leur largeur,
restent pris entre les deux trottoirs et, souvent, entravent la circulation. »
L'idée d'un tunnelou d'une passerelle
Entre la matinée du 11 juillet et la soirée du 12 juillet 1928,
sur une période de 10 heures,
727 bicyclettes, 184 autos, 218 voitures attelées et 169 voitures à bras empruntent
ce passage obligé entre la Chaume et Les Sables.
« Une circulation aussi intense justifie la dépense
qu'a entraînée l'élargissement du pont », soulignait-on à la mairie.
En 1963, des études prévoient une chaussée de 9 m et deux trottoirs
de deux mètres pour faire face à la fréquentation estivale.
Construction d'un tunnel, d'une passerelle...
Des solutions pour pallier la destruction du pont sont évoquées par
la municipalité de l'époque. « Mais elles n'ont pas été réalisées.
» Cinq cents manifestants dans la salle de délibération du conseil
municipal, des réunions d'informations houleuses...
Un vent de colère a soufflé du côté des Chaumois.
« L'association Bien vivre à la Chaume a été créée.
On a obtenu un service de bus et un bac gratuit
entre la Chaume et le port de commerce.
C'était la compensation. » Puis la rocade a été achevée.
Le port de plaisance, quant à lui, a le vent en poupe depuis 30 ans.
Dimanche, 30 skippers ont quitté l'un de ses pontons.
Ils se sont élancés pour un tour du monde en solitaire,
applaudis par la foule rassemblée sur les quais. Tandis que,
parmi le public, à la Chaume, quelques-uns sont allés
prendre un verre au bar... du Pont.
Laurence MONARD.
.
Les casinos, figures
de l'essor touristique
Le Grand Casino, dont la maîtrise d'oeuvre a
été confiée à Gustave Eiffel, est un élégant
établissement de fer et de verre bâti en bord de mer. © DR.
Louise Robin, historienne de l'art, retracera
l'histoire des casinos sablais lors d'une conférence .
Ces établissements sont liés à l'histoire de la ville.
Divertir les baigneurs
« Distraire les baigneurs ! » Tel est le leitmotiv
des Sables d'Olonne tout au long du XIXè siècle,
estime Louise Robin. C'est que la mode des bains
de mers vient d'être lancée et que les « étrangers »
commencent à affluer. « L'arrivée des Chemins de fer
donne le coup de sifflet de la mise en tourisme des côtes,
souligne l'historienne. On fabrique une destination,
on lance une économie touristique qui entraîne le bâti. »
Le premier établissement répondant à cet objectif
de divertissement sera le Grand Hôtel des Bains.
Ouvert en 1845, il est commandité par Julien Lafeuille,
commerçant de la ville, et situé à l'articulation
entre port et plage. Rapidement ce qui était prévu
pour être une maison de réunion pour « baigneurs étrangers »
devient casino et hôtel. Outre les jeux d'argent,
des activités mondaines s'y développent. Malgré
des vicissitudes financières, l'établissement poursuivra
ses activités et sera le premier et seul casino des Sables jusqu'en 1876.
Un casino Eiffel
En 1876, un nouveau casino,
commandité par la Compagnie des chemins de fer, est inauguré.
« Si Les Sables d'Olonne ont pu s'enorgueillir
de posséder jusqu'au milieu du XXe siècle
un casino signé du nom prestigieux de Gustave Eiffel,
c'est le fait d'un heureux hasard », écrit Louise Robin,
dans son ouvrage Villas et édifices balnéaires des Sables d'Olonne.
L'ingénieur était alors en charge de la construction
de ponts sur les lignes de chemins de fer en Vendée.
Le Grand casino emprunte au modèle des gares.
De nombreux éléments de décoration sont métalliques.
« Le contraste avec l'ancien casino du
Grand Hôtel des Bains
marque la révolution du goût
qui opère dans le dernier tiers du siècle.
» La ville est d'ores et déjà résolument orientée
vers son destin balnéaire. Cet établissement sera
reconstruit dans les années 1950 par l'architecte
Maurice Durand, deviendra municipal et
sera dirigé un temps par Léo David.
Des casinos à la Rudelière
Dès 1896, le Grand Hôtel des Pins,
aux confins de la ville, devient le poumon d'air frais
de la station. Il est investi par les Sablais
et offre théâtre, salles de café, de lecture et de jeux.
Dans les années 1920, la ville s'étend vers le quartier boisé de La Rudelière.
Un casino très ambitieux y est programmé.
Échec financier, il restera au stade d'une carcasse métallique,
détruite en 1941. Plus modestement, sur le parc des Sports, bâti par le promoteur
Alphonse Alonzo, une simple buvette se transforme en Casino des Sports. En 1934,
les jeux y sont autorisés. Deux fois reconstruit, la famille Alonzo- Hoffmann
le dirigera jusqu'à sa vente en 2006. Ce sera un haut lieu du divertissement
en Vendée. On ne peut évoquer cet établissement sans avoir une pensée
émue pour Jeannine Hoffmann, née Alonzo, disparue la semaine dernière.
Elle présida seule et avec détermination, après la mort tragique de son époux,
aux destinées du Casino des Sports.
Elle-même a rédigé une chronique des casinos sablais.
Les Sables d'Olonne, ville portuaire (pêche, plaisance) de la façade atlantique française, située en Vendée.
Le nom de SABLES D'OLONNE vient de la position occupée par la ville au milieu des dunes sablonneuses appartenant autrefois à la seigneurie du bourg d'Olonne.
La ville est aussi une station balnéaire réputée idéalement située sur la bien nommée "Côte de Lumière".
L'histoire des Sables d'Olonne et de La Chaume est, depuis le Moyen Âge, liée à l'océan. Au XIe siècle, une église dédiée à Saint-Nicolas, patron des pêcheurs, est édifiée à la pointe de La Chaume.
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Les Sables d'olonne : prieuré St Nicolas
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Le faubourg de LA CHAUME occupe la rive droite du port des Sables, et on peut le considérer comme ayant été l'origine de cette dernière ville, car sa fondation remonte à l'époque de la conquête des Romains.
Afin de maintenir le pays sous leur joug, les vainqueurs y établirent une forte station militaire. Tout aussitôt, une colonie maritime se réfugia à l'abri de cette protection efficace, et la Chaume se trouva fondée.
Histoire sablaise 1218 : la véritable impulsion est donnée par Savary de Mauléon, Prince de Talmont, qui décide de fonder une villa nova près d’Olonne et de La Chaume. Le port des Sables remplace le port de Talmont qui s’envase inexorablement. Le bourg des Sables se développe alors sur le versant nord de la dune. Le port des Sables s'enrichit très rapidement avec une solide bourgeoisie de négociants et d'armateurs.
1472 : Louis XI décide de faire des Sables d’Olonne le port principal du pays.
1498 : L'importance du port des Sables est indéniable. 80 à 100 navires y mouillent chaque année.
XVIe siècle : époque de la construction d'hôtels particuliers d'armateurs et de négociants. L'économie est surtout basée sur la pêche à la baleine, puis à la morue qui assure jusqu'au XVIIIe siècle la richesse de la ville.
1602 : Les Sables d’Olonne deviennent l’un des huit sièges d’élections du Bas-Poitou.

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Drapeau du Poitou
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1622 : La cure des Sables devient indépendante d'Olonne grâce à Richelieu.
1623 : Les travaux de la chapelle Sainte-Anne débutent à la Chaume.
1639 : La construction de l’Abbaye Sainte-Croix s’achève.
1646 : Pose de la première pierre de l'Eglise Notre-Dame de Bon Port.
Entre 1660 et 1725, les Sables d’Olonne devient le 1er port morutier de France. Pourtant, sous le règne de Louis XIV, les conflits incessants empêchent le commerce et la pêche qui assuraient la prospérité de la ville.
1696 : La ville est bombardée par une flotte anglo-batave, mais les dégâts seront heureusement minimes grâce à l’action d’un marin sablais, Daniel Fricaud.
XVIIIe siècle : Un lent déclin s’amorce, essentiellement par le fait des guerres, du désengagement des capitaux nantais et de l'ensablement progressif du port.
1750 : D'importants travaux sont entrepris pour permettre le libre accès du port et protéger la ville des inondations :
. 1751-1756 : construction du « Remblai ».
. 1764-1765 : construction de la jetée Saint -Nicolas pour protéger l'entrée du chenal.
. 1768-1780 : construction de la grande jetée.
. 1782-1787 : construction d'un quai en bordure de La Chaume.
1749 : Élection du premier maire des Sables-d'Olonne, Aimé-François Dupleix, et de quatre échevins.
7 août 1753 : Après quelques siècles de rivalité, les Sables-d'Olonne et la Chaume sont réunis.
1765 : La ville est dotée d’armoiries après avoir obtenu le droit de faire du commerce avec les îles d’Amérique.
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Les Sables d'Olonne : armoiries
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Juillet 1789 : la ville arbore le nouveau drapeau tricolore dès la fin du mois. Elle reste fidèle à la République après avoir repoussé les attaques des troupes vendéennes les 24 et 29 mars 1793.
Cependant, l'état de la ville ne cesse d'empirer, isolée de l'intérieur (aux mains des Vendéens) et de l'extérieur (avec la présence des Anglais sur mer). Sous l'Empire, la municipalité des Sables-d'Olonne doit faire face au blocus continental instauré par Napoléon, ainsi qu'à la menace des vaisseaux de guerre anglais.
Au lendemain de la Révolution et de l'Empire, la ville des Sables d'Olonne est dans une situation économique et démographique catastrophique. Le renouveau viendra de l'essor du tourisme et de la pêche.
1816 : Premières réglementations des bains de mer.
1825 : Premiers établissements de bains et les « Bathing Machines ».
1854 : Parution du « Guide historique et pittoresque du baigneur aux Sables d'Olonne » qui permet de faire connaître la Ville à Paris et dans les grandes villes de l'Ouest.
1854 : Début des travaux de rénovation de l’ancien château de La Chaume par les Ponts-et-Chaussées. Désormais, la tour sera connue sous la dénomination controversée de « Tour d’Arundel ».
1845 à 1863 : D'importants travaux modernisent le port des Sables-d'Olonne. Début de la grande épopée de la pêche à la sardine et de la pêche au thon, qui assure l'essor des conserveries (Amieux, Maingourd...)
fin XIXè : construction de la grande poissonnerie.
Parallèlement, les chantiers de construction navale fleurissent sur les quais de la Cabaude, fabriquant les fameux dundees, gazelles et autres pinasses sardinières. Un peintre chaumois, Paul-Émile Pajot, va immortaliser cette vie maritime sur ses toiles.
Grâce à la petite pêche côtière artisanale et la pêche hauturière, les Sables-d'Olonne vont occuper, jusque dans les années 1990, la 5ème place des ports de pêche français.
En 1866, l'arrivée du chemin de fer aux Sables d'Olonne va dynamiser le tourisme, avec la construction de la gare et la mise en place des « Trains de plaisir », reliant Paris à « La plus belle plage d'Europe ».
1876 : Inauguration du casino de la Plage.
1886 : Inauguration du casino des Pins.
1879 : L'accroissement de la fréquentation estivale a pour conséquence l'extension de la ville vers l'Est. Les nouveaux quartiers de la Gare et de la Rudelière s'urbanisent très rapidement.
Les touristes font alors construire de nombreuses et somptueuses villas, que l'on peut encore voir de nos jours.
Peu à peu, les nombreux hôtels et pensions de familles permettent d'accueillir l'afflux croissant des étrangers.
1936 : Les campings se développent à leur tour .
Au cours des années 1950 : l'urbanisme va être profondément modifié par la construction de grands immeubles collectifs, ainsi que par l'élargissement du remblai et la construction de la piscine en front de mer. Le casino de la Plage est également reconstruit.
Fin des années 1970 : construction du port de plaisance, Port Olonna, et d'une rocade entre les Sables et La Chaume.
15 juin 1975 : signature de la charte du Jumelage entre la Ville et Schwabach, ville allemande située en Bavière.
En 1989, le Vendée Globe Challenge prend le départ aux Sables d'Olonne. La ville renoue avec son passé maritime, auquel s'ajoutent de nombreuses compétitions nationales et internationales de sports nautiques.
Vendée Globe 1989 : installation d'un centre de thalassothérapie au bord du lac de Tanchet dote la ville d'une nouvelle infrastructure touristique.
La ville devient une des premières « Stations nautiques » en France.
1990 : Début de l'embellissement du centre-ville.
1998 : Inauguration du Centre de Congrès Les Atlantes, qui achève l'œuvre de modernisation, plaçant les Sables-d'Olonne en un pôle touristique incontournable.
Aujourd'hui : Les Sables d'olonne accueillent une cinquantaine de manifestations nautiques chaque année dont le très médiatique Vendée-globe. Cette course à la voile autour du monde est baptisée "Everest des mers" en raisons des difficultés qui la classe parmi les plus spectaculaire. Le Vendée-Globe fut imaginé par Philippe Jeantot en 1989, année du premier Vendée-Globe
Prachain départ le Samedi 10 novembre 2012

La piscine du Remblai : Plus de 60 ans de souvenirs pour petits et grands
La Lettre des Sables vous fait remonter le temps et vous présente une rue, un quartier au temps jadis, ses bâtiments marquants, ses moments forts, son évolution... Dans ce numéro, la piscine du remblai
L'emprise de la piscine municipale fait partie du domaine public communal depuis 1912. Autrefois, cet emplacement faisait l'objet d'une concession d'endigage accordée à la Ville par l'État, avant d'être cédé à la Ville sur la base de 812 francs (env. 8 000 m2). Le 24 juin 1949, le ministre de l'Intérieur autorise la ville des Sables-d'Olonne à entreprendre les travaux d'élargissement de la promenade du remblai, au titre du plan d'équipement national.
La municipalité profite de ces travaux pour entreprendre la construction d'un bassin de natation à l'extrémité Ouest du Remblai. La piscine complète harmonieusement l'élargissement de la promenade et va permettre l'organisation de compétitions sportives qui constituent une attraction supplémentaire pour la station balnéaire.
Les travaux débutent le 18 décembre 1950.
La piscine du front de mer est un exemple quasi unique de bassin en maçonnerie. Le bassin de natation, d'une surface de 25 m sur 12,50 m, est alimenté en eau de mer par une station de pompage établie sur le musoir de la jetée Est du port.
De vastes dégagements en demi-cercles sont prévus au Nord-Ouest et au Sud-Est du bassin.
De 1952 à 1957, la concession-gérance est confiée à M. Léo David, Directeur du Grand Casino. Puis, de 1958 à 1973, c'est au tour de M. Raphaël Morand, professeur de natation et vainqueur des marathons du Nil et de la Loire, deprendre en main les destinées de la piscine municipale.

En 1963, la municipalité fait installer une station de filtration et de traitement en circuit fermé de l'eau de mer de la piscine. En 1966, un bassin école de 6 m x 10 m est construit à l'extrémité Est du bassin sportif, à la place du pédiluve. Celui-ci doit permettre aux scolaires d'apprendre à nager et à se perfectionner dans ce sport avec un maximum de sécurité.
A partir de 1973, l'eau de la piscine est chauffée....
L'année suivante, la piscine connaît un nouveau gestionnaire : Jean-Philippe Bart (1974-1975), puis Marie-Thérèse Labarsouque et Francis Cros (1976-1984), Michel Germain (1985-1986), puis de nouveau Francis Cros (1987-2003). Depuis la réouverture le 22 juin dernier, c'est la société Vert Marine qui assure l'exploitation de cette piscine municipale.

Plages des Sables d'Olonne
Depuis les années 1800, Les Sables d'Olonne est la ville phare
de la Côte de Lumière, le littoral vendéen. Il faut dire que la ville
a tous les atouts pour cela : des plages incroyables,
des ports imposants et des infrastructures touristiques
qui vous permettent un séjour animé, divertissant et plein de charme.
Depuis le Remblai, la fameuse promenade construite
sur le front de mer, on peut admirer la grande plage
des Sables d'Olonne, une superbe étendue de sable
fin parfaite pour attirer les amateurs de bronzette,
de châteaux de sable ou de sports nautiques.
On dit souvent quelle est la plus belle plage d'Europe,
et c'est vrai que ses trois kilomètres orientés plein sud,
au fond d'une baie abritée des vents ont de quoi séduire !!
Et puis les superbes cabines de bain traditionnelles,
les animations, les activités sportives, tout cela forme
un tout enchanteur pour les touristes.
D'autres plages sauront aussi vous conquérir :
la plage de Sauveterre cachée au coeur de sa forêt,
la plage des Granges et son petit côté sauvage,
la plage du Tanchet, celle de la Paracou...
souvenirs
Diaporama de 20 Minutes>> http://www.youtube.com/watch?v=yaIkuLgsyjQ&feature=youtube_gdata_player
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